SASSEM1


 

Sassem

 

 

de Honey

 

= = Partie 1 = =

 

Ceci est une Uber Xena. L’histoire se passe à notre époque mais c’est un monde parallèle, avec des personnes, lieux, situation politiques et financières inventés, de même que les traditions, environnements et climats des lieux utilisés et les vêtements… Le titre en est : Sassem, cela se prononce ssassem.

Avertissement : Les personnages de Xena la Guerrière ©® et tous ceux associés à la série télévisée du même nom sont la propriété de MCA / Universal Pictures. Mais ceux qui suivent m’appartiennent entièrement.

Cela dit je veux bien vous les prêter. Je sais… je suis une âme généreuse. *renverse la tête en arrière et part dans un grand rire prétentieux *

Violence : Ah bah ça pour sûr !

Sexe : Y’a interêt ! ( * chuchote * « mais ca dépend de mes persos, ils aiment bien décider seuls de ce genre de choses » )

C’est une histoire entre filles, alors si vous n’avez pas l’âge ou que cela vous rebute, eh bien pauvre de vous… vous devez passez votre chemin…

N''hésitez pas à me faire part de vos critiques car c'est elle qui me feront progresser ! En espérant que cela vous plaise, je vous dis bonne lecture !!

 

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PARTIE I : La rencontre

Chapitre un :

A plat ventre cachée dans les buissons, elle guettait les soldats. Des gouttes de sueurs dégoulinaient le long de son visage. Elle les essuya d’un geste absent mais néanmoins lent car le silence était primordial. Pour son plus grand bonheur le soleil était en train de se coucher et les militaires commençaient à préparer leur camp pour la nuit.

Elle n’était pas du genre impatiente et était capable de rester sans émettre un son ou un mouvement plusieurs heures durant, mais ce n’était pas pour autant qu’elle n’appréciait pas lorsque le temps de l’action était venu. D’autant plus lorsqu’elle crevait de chaud comme en cet instant.

Elle vit deux d’entre eux s’installer pour leur tour de garde. Le premier choisit un rocher à l’opposé du campement, le second s’installa près d’elle.

« Shit ! » pensa-elle. Elle ne perdit pas plus de temps en pensée négative et repensa son plan. Elle fit le tour du campement des yeux. L’objectif à atteindre était au milieu du camp plutôt qu’à l’écart comme ça l’était habituellement. Ce simple fait montrait à qui appartenait les soldats qui étaient devant elle. Et c’était pourquoi elle était là. Faire échouer les plans de leur chef… C’était tout ce qui comptait pour elle. Sa seule raison d’être.

Elle réfléchit. Il allait bien finir par bouger. Pas s’endormir, non, les soldats des différentes armées de Sassem étaient bien trop disciplinés pour ça, mais… il allait avoir besoin d’aller se soulager, vu tout ce qu’il était en train de boire. « Amusant… ils sont bien trop disciplinés pour s’endormir, mais pas assez pour ne pas boire. Sassem tu ne leur as donc pas fait la leçon ? Ou bien tu négliges de les contrôler ? Quoi qu’il en soit ton arrogance va te perdre, comme toujours » se dit-elle.

Bien, il ne lui restait plus qu’à attendre. Une fois le soldat en vadrouille, elle allait devoir ramper le plus lentement possible, en utilisant les zones d’ombres projetés par les différents feux de camps. Elle devait choisir maintenant son itinéraire et le soldat qui aurait la malchance de se trouver sur celui-ci car avec le campement à traverser, même dans la pénombre et en rasant le sol, il était clair qu’elle allait faire une rencontre. Le tout était de choisir laquelle car elle ne devait pas en faire plus d’une si elle ne voulait pas se faire repérer.

Bon, eh bien finalement, elle n’avait pas besoin d’attendre que le soldat bouge vu l’itinéraire qu’elle s’était choisi. Elle connaissait bien les habitudes de ces hommes. Elles étaient les mêmes que celles de tout les soldats de Sassem à travers le monde. Et pour en avoir fait partie, elle les connaissait intimement. Elle se mit à contracter chacun des muscles de son corps afin d’évacuer l’engourdissement qui l’avait pris. Puis elle commença lentement et silencieusement à ramper hors de son buisson et se diriger vers son nouveau point de départ.

Parvenue à celui-ci, elle se redressa légèrement pour mémoriser ce nouveau point de vue. Elle se regarda furtivement, évaluant ainsi la tenue de son camouflage puis s’aplatissant au maximum, elle entama sa lente et toujours silencieuse progression. Régulièrement elle effectuait des pauses pour vérifier qu’aucun soldat ne venait vers elle, puis elle tournait son regard vers l’homme qui serait son seul obstacle avant sa cible.

Il lui tournait le dos, assis sur une caisse en bois. Il ne se doutait pas que sa fin était proche.

Arrivée près de lui, elle se redressa. Doucement. Posément. Puis elle tendit les mains dans un mouvement fulgurant. Elle lui coinça la tête dans une étreinte mortelle et lui brisa la nuque avant même qu’il ne comprenne que quelqu’un était là. C’était fini. Il ne se relèverait plus jamais. Sans s’appesantir plus, elle cala son corps de telle façon qu’on le croit toujours en vie.

A partir de là, le temps était compté. Il fallait être rapide. Elle s’accroupit, fit un rapide tour du camp, et s’approcha de la cabane rudimentaire où se trouvait son objectif. Elle poussa la porte graduellement car elle grinçait et même si le facteur temps était important, rien ne l’était plus que le silence dans ce genre de mission.

Lorsque l’ouverture fut assez grande, elle se faufila en se plaquant contre le mur. Elle laissa sa vue s’habituer à l’obscurité puis mit rapidement un doigt sur ses lèvres. Les 3 hommes et 2 femmes se trouvant dans la cabane la dévisageaient incrédules. Lentement l’espoir remplaça la stupeur. Tous la regardaient dans l’expectative.

Elle s’approcha et leur murmura quelques ordres brefs. Ils acquiescèrent. Elle avisa le seau près du mur, le tira à elle, puis le renversa sur le sol en terre. Elle mélangea le tout et leur fit signe. Ils la regardèrent hésitant mais un geste impatient les fit plonger leurs mains dans la boue et s’en étaler sur chaque centimètre carré de peau visible. Elle leur murmura ensuite :

- Vous allez sortir en faisant les gestes les plus lents possibles. Une fois à l’extérieur vous vous allongerez à plat ventre et attendrez mon signal. Je vais créer une diversion. Vous ramperez alors l’un après l’autre en direction du bois. Parvenus là-bas vous vous enfoncerez plus loin en marchant courbés. Ne courez jamais. Faites tout cela avec lenteur. Il est essentiel d’être invisible. Ne vous préoccupez pas des soldats, je suis la pour ça. Une fois assez loin dans les bois. Redressez-vous puis continuer d’avancer tout droit en marchant. Vous trouverez plus loin des chevaux.

Un des hommes fit un geste vers elle. Elle secoua la tête.

- Ne vous occupez pas de moi.

L’homme abaissa son bras et hocha la tête avec gravité. Puis tout aussi tranquillement qu’elle, ils passèrent la porte sans la pousser plus et s’allongèrent au sol pendant qu’elle se plaquait contre le mur. Lorsqu’ils se confondirent tous avec la couleur du chemin, elle regarda rapidement autour d’elle et repéra son nouvel objectif.

Elle leur fit signe qu’elle y allait et ils la regardèrent partir en rampant. Elle se déplaçait avec un incroyable mélange de grâce et de puissance féline. Tout cela contenu dans un corps d’une incroyable perfection.

Le « chef» du petit groupe avait cru voir un ange entrer dans leur prison. Un ange déchu, certes, car entouré d’une aura sombre, mais un ange quand même. Ses longs cheveux noirs étaient serrés en une natte qui pendait dans son dos. Ses vêtements étaient aussi noirs que ses cheveux, et son visage et ses mains étaient recouverts d’un maquillage noir. Seuls ses yeux, d’un bleu profond détonnaient dans cet ensemble. Ces yeux d’où se dégageaient une énergie électrique et une force profonde. C’était eux qui lui avaient fait penser à un ange. Se reprenant l’homme se mit à guetter le signe attendu, se demandant ce que ce serait.

Soudain une déflagration suivit d’un grand jet de flamme explosa dans la nuit, illuminant les soldats qui restèrent figé un moment. Les flammes prirent alors de l’ampleur et les prisonniers comprirent que les baraquements commençaient à prendre feu. « Ce devait être le signe » se dit le « chef ». Il fit un geste au ras du sol, intimant à la première personne de se diriger vers les bois.

Lorsqu’elle fut à mi-chemin un second voulut la suivre, mais le « chef » le retint jusqu'à ce qu’elle soit parvenue derrière les arbres. Alors le second suivit.

« Le chef » regarda dans la direction qu’avait pris « l’ange » et vit qu’un deuxième feu avait commencé un peu plus loin obligeant les soldats à se disperser pour, un : éviter les flammes et deux : éteindre le feu. Il sourit. Elle était douée. Il avait envie de l’attendre mais il savait que cela mettrait le reste du groupe en danger et risquerait de faire échouer le plan de son « ange ». Il soupira doucement espérant un jour avoir l’occasion de la remercier et se mit lui-même en route.

De son côté, « l’ange » contemplait son œuvre avec un sourire sauvage. Elle avait toujours aimé le feu. Il dévorait tout sans distinction de race ou de religion. Animaux, végétaux, hommes, tous était égaux face à lui. « Et ces couleurs… » songea-elle, « un tableau du maître en la matière : mère nature. »

Elle observait fascinée, les couleurs allant de l’orange le plus profond au rouge et parfois au bleu, en passant par le jaune. Les soldats couraient dans tous les sens, paniqués. « Intéressant comme ce qu’il y avait probablement de plus beau et de plus parfait sur cette terre pouvait effrayer le plus dur des hommes ».

Quittant l’abri des fourrés, elle se redressa légèrement afin de se rendre compte ou en étaient les prisonniers. Elle vit que le dernier était près de la lisière de la forêt. Elle sourit alors de satisfaction avant de se recoucher au sol et de se rendre à son point de repli. Comme d’habitude la mission avait été accomplie sans anicroche. « Et presque pas de mort… ».

Quelques heures plus tard, « l’ange » était de retour « chez elle ». C’était un cabanon, perdu dans la jungle. Si isolé que même les guérilléros ne passaient à proximité. Et si par malheur cela arrivait, il était si bien intégré à la végétation qu’il aurait fallu être un lynx pour le distinguer.

Il était situé en hauteur, dans les branches d’un arbre gigantesque. « L’ange » s’approcha de la table au milieu de la pièce pour y déposer les armes dont elle ne s’était pas servie. Ainsi, deux grenades, un cz-73 semi-automatique avec silencieux, un couteau de chasse, deux barres de munitions, deux dagues et sa ceinture multi-poches qui contenait le nécessaire pour créer des petits explosifs apparurent.

Elle se débarrassa ensuite de ses vêtements en se dirigeant vers une porte dissimulée dans le fond. Elle l’ouvrit, complètement nue, leva le visage, le présentant aux maigres rayons qui filtraiet à travers le feuillage puis sauta dans le vide.

Elle effectua un plongeon parfait sans même rider la surface de l’eau et s’y enfonça profondément. Elle émergea quelques minutes plus tard, à l’autre bout de l’oasis, un poisson dans chaque main. Elle les jeta sur le bord, fit quelques longueurs et se laissa flotter, observant les oiseaux qui revenaient. Le soleil se reflétait sur leur plumage, nuançant leur couleur. Le temps passa et elle restait ainsi flottant dans l’eau tiède, contemplant la faune et la flore à proximité tout en revoyant les différentes étapes de son attaque.

Elle haïssait Sassem depuis des années et cela faisait longtemps qu’elle parcourait le monde en quête des projets qu’elle pourrait saboter. Oh bien sûr son objectif premier était son assassinat pur et simple, mais il ne fallait pas aller trop vite, sa vengeance devait le faire souffrir. Et contrecarrer ses desseins était assurément une façon de le faire.

Sassem était arrogant et persuadé d’être ce que le monde attendait depuis sa création.

Sûr de sa place, il avait entrepris dès son plus jeune âge de corrompre le monde afin de le dominer et ce par l’intermédiaire des affaires. Il était si doué, qu’aujourd’hui il possédait une des 5 entreprises les plus côtées au monde. Il avait conclu des alliances légales et illégales avec une bonne partie des monarques et présidents de cette terre. 1/3 était sous sa domination. Bien sûr tout ceci était non officiel et les pays qu’il dirigeait l’étaient par l’intermédiaire d’hommes à lui qu’il plaçait comme dictateurs.

Ainsi il « gouvernait » l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale, ainsi que l’Italie, ce qui était un choix étrange car il s’agissait d’un tout petit pays, coincé entre des civilisations encore libres. Il avait des relations très proches avec les monarques de l’Egypte, les pays, Arabes, les pays Slaves et l’Inde. L’Europe, l’Amérique du Nord, le Canada, l’Alaska, les pays du centre du monde, l’Australie et les pays scandinaves et asiatiques étaient les seuls encore libres de tout contrôle Sassemien.

Malheureusement dans la plupart de ses pays il possédait une influence importante de par ses affaires légales qui lui permettaient de disséminer ses hommes parmi les membres de la haute société.

Et année après année ils gravissaient les échelons tant sociaux que politiques, donnant à Sassem plus de pouvoir. Bien sûr Sassem ne comptait pas que sur la chance de plaire, il utilisait toutes les armes à sa disposition : le chantage, la manipulation, la menace, la force, la négociation… et pour cela il possédait des espions, des affaires illégales et plusieurs armées.

Elle avait fait partie d’une de ses premières armées… un enfer.

Elle mit la main sur ses yeux comme pour chasser ces images d’une autre vie. Elle se redressa enfin et regagna la berge. Elle récupéra une pierre à savon et se frotta avec. Elle se rinça puis récupéra ses poissons. Elle remonta dans sa cabane et posa les poissons sur la table avant d’ouvrir une armoire et de prendre une serviette pour se sécher. Elle se dirigea ensuite vers une commode et prit les premiers vêtements qu’elle vit, une culotte et un pantalon noir en toile ainsi qu’un marcel noir moulant, et les enfila.

Elle reprit ensuite ses poissons et se dirigea vers l’évier. Elle attrapa un couteau fin et les vida avant de les poser dans une poêle qu’elle venait d’attraper. Tout ceci finit sur un petit réchaud à gaz posé sur un meuble à côté du buffet.

Chacun des meubles avait été construit et posé sur un plancher en bois intégré aux branches pour plus de stabilité. Mais le reste de la cabane ne possédait pas de plancher et c’était un réseau dense de branches qui lui permettait de circuler d’un endroit à l’autre. Elle aurait pu mettre un plancher sur toute la surface, mais alors la cabane aurait perdu son camouflage.

De même il n’y avait pas de toit à proprement parler. Juste un tissu de planches liées par des cordes sur lesquelles elle pouvait tirer pour enlever le toit ou le remettre. Ce n’était donc ni très étanche ni très bien isolé mais le confort n’étant pas le but premier de cette planque, elle y avait renoncé facilement. Si un jour des soldats venaient à passer sous l’arbre, le soleil ne risquait pas d’être bloqué par des planches, dévoilant, par l’ombre étrange qui tomberait sur le sol, son refuge.

Une fois ses poissons cuits, elle les mangea à même le plat puis le posa dans l’évier, laissant la vaisselle pour plus tard. Elle alla s’asseoir sur son lit, à droite de la porte d’entrée et reprit des papiers laissés ici le matin même. Elle les compulsa une dernière fois avant de fermer le dossier en écrivant : MISSION TERMINEE en rouge. Il rejoignit ensuite, dans une caisse, d’autres dossiers identiques. Alors qu’elle s’allongeait en se demandant ce qu’elle allait faire dans les prochains jours, un crépitement attira son attention.

Elle attrapa la radio qui se trouvait sous son lit et écouta. Des battements retentirent à intervalle plus ou moins régulier. Lorsque les battements cessèrent, elle souffla en secouant la tête agacée, se leva et déplaça une planche sous son lit pour prendre son téléphone portable. Elle l’alluma et prit aussi son ordinateur qu’elle alluma également.

Tout en composant un numéro sur son téléphone, elle saisit un câble. Elle relia son téléphone à son ordinateur puis mit le téléphone sur haut parleur et le posa. Elle tapa ensuite des codes complexes sur son ordinateur. Elle venait de terminer de mettre en place son brouilleur lorsque son interlocuteur daigna répondre.

- Pourquoi appelles-tu sur la radio ? T’as plus de brouilleur ou quoi ? fit-elle irritée.

- J’avais envie de voir si tu connaissais toujours mon numéro, dit-il désinvolte.

- Si tu appelles sur la radio c’est que tu es dans les environs. Ou exactement ? Et pourquoi ?

- Oh tu me vexes ! répondit-il faussement outré. A t’entendre je n’ai pas de bonne intention ! Il se trouve que je souhaitais juste avoir de tes nouvelles.

- C’est ça… fit-elle sarcastique. Alors ? reprit-elle plus durement.

- Je vois que tes manières sont toujours aussi bonnes. Bien, puisque tu insistes… J’ai été contacté pour un kidnapping. Et d’après mes infos je vais avoir besoin d’un partenaire, enfin d’une partenaire.

- Qu’est-ce qui te fait croire que je pourrais être intéressée ?

Un rire bas se fit entendre.

- A d’autre Enyo… Je sais ce que tu as fait aujourd’hui. Et toi comme moi, savons qu’après ce genre d’éclat, Sassem est fou furieux et te fait rechercher partout et par tous. En fait tu as plutôt de la chance que je sois dans le coin, ton départ sera plus rapide ainsi.

Elle se mit à réfléchir. Effectivement, elle savait que dès que les communications, qu’elle avait soigneusement sabotées, seraient rétablies, Sassem serait mis au courant de l’échec de son projet et lancerait une dizaine de contrats sur sa tête.

- Je ne risque rien là où je suis, dit-elle néanmoins.

- Oh mais je n’en doute pas, fit son interlocuteur avec amusement. Mais s’il n’entend pas rapidement parler de toi hors de la Colombie, il saura qu’il t’a piégée. Et là, les moyens qu’il mettra en œuvre pour t’attraper seront trop, mêmes pour toi. Alors que si tu changes de pays comme de chemise…il se fatiguera vite de disperser ses hommes pour rien. Comme d’habitude quoi… Allez Enyo, fais pas ta mijaurée, d’autant que la mission s’annonce excitante…

Elle savait qu’elle allait dire oui depuis le début de la conversation, mais pas lui, et elle adorait l’embêter, alors elle le laissa mariner encore un peu.

- Ok, fit-elle enfin.

- Tu ne vas pas le regretter.

- Kidnapping tu as dit. On le fait ou on délivre ?

- On délivre. Je te donnerais toutes les infos quand tu m’auras rejointe. Je suis au point central delta. A toute chérie !

La grande femme brune secoua la tête agacée par sa familiarité mais ravie de cette nouvelle mission. Elle se releva, rangea et prépara ce dont elle aurait besoin, puis partit.


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